Lors d’une randonnée du mois de janvier 2018, un évènement imprévu est venu chambouler une journée presque parfaite jusqu’à un accident soudain. Est-ce que j’avais un excès de confiance dû à la connaissance du sentier et sa proximité? Une chose est certaine, malgré mes nombreuses années d’expérience aux guidons de véhicules quads et motoneiges, je n’ai pas pu prévoir l’imprévisible.
Lors de cette journée, je circulais paisiblement et je savourais chaque moment que m’offrait cette randonnée. Je dois mentionner en préambule que nous avions subi un fléchissement des températures au-delà du point de congélation quelques jours auparavant. Ce sont des aléas avec lesquels nous devons composer constamment et j’en étais très conscient.
Dans mes nombreuses aventures, il m’est déjà arrivé, lors d’un plus jeune âge, de vivre des situations qui ont propulsé mes pulsions cardiaques à un haut niveau en quelques secondes. Comme dirait l’expression populaire, je n’en étais pas à mon premier rodéo! En acquérant de la maturité, au même rythme de ma perte de cheveux, j’ai appris à doser mes écarts de conduite, car mon corps ne répond plus aussi rapidement que par le passé. J’ai également acquis une certitude, l’adrénaline cache bien des maux et lorsque celle-ci retombe, je découvre alors les conséquences de mes actes.
Cependant, lors de la prise d’une courbe, je n’ai pu prévoir cette plaque de glace qui m’a plongé dans une situation précaire et qui a mis ma motoneige hors de contrôle. Malgré tous les efforts déployés, mon véhicule s’est encastré violemment dans un amoncellement de neige durci et je n’ai pas pu éviter le violent contact de la portion gauche du guidon avec le haut de mon corps.
Mes compagnons de randonnée ont vu la scène au ralenti comme dans les films à grand succès et se sont empressés de me porter secours. Même si j’avais été éjecté de ma motoneige, mes premiers réflexes ont été de vérifier l’état de mon véhicule et, à notre plus grand étonnement, celui-ci ne démontrait pas de signes de défaillance ni de bris majeurs. Par la suite, malgré l’impact, je me considérais chanceux d’être intact comme l’était mon véhicule. Je ressentais une faible douleur dans le flanc gauche, mais que j’estimais négligeable.
Ce n’est que 2 heures plus tard, lorsque l’adrénaline s’est estompée, que la douleur devint plus intense presque insupportable. Nous avons une expression populaire dans mon coin qui est la suivante et que je mentionnais à voix basse pour me convaincre que cela ne serait que passager : « Je ne suis pas fait en mousse de caleçon! » J’ai essayé tant bien que mal de chasser la douleur, mais ma femme et moi avions pris la sage décision de nous rendre à l’hôpital pour aller constater les dégâts.
Le verdict est tombé: une côte fracturée et une saison de motoneige qui se terminait par la même occasion. J’étais furieux contre moi-même, comment avais-je pu faire une erreur de recrue aussi classique? Ma réadaptation m’a permis de prendre conscience d’au moins une chose: peu importe l’expérience que nous possédons, nous sommes vulnérables au niveau de certaines parties du corps qui sont exposés. J’ai été chanceux dans ma malchance, car j’aurais pu être en contact avec une branche ou tout autre matériel qui auraient pu me causer de plus graves blessures et voire même la mort. La section de ma taille jusqu’aux épaules contient une majeure partie de mes organes vitaux et je me dois dès cet instant de les protéger.
J’observais les pilotes de « snowcross » qui portent fréquemment un type de gilet de protection, mais je me questionnais à savoir si ce serait adapté à une utilisation plus conventionnelle pour des motoneigistes de randonnée. Les adeptes de hors-piste sont également des habitués de ce type de protection. Quand est-il pour les motoneigistes majoritairement randonneurs? Ma période de convalescence a été la période idéale pour approfondir le sujet et en apprendre plus sur cet équipement de protection.
Mon investigation a porté ses fruits lorsque j’ai été en mesure de converser avec des urgentologues ayant soigné des cas semblables au mien et qui étaient catégoriques: les accidentés portant un gilet de protection auraient été affligés de plusieurs blessures plus graves s’ils n’avaient pas porté cet équipement.
Peu importe qui nous sommes, nous avons des responsabilités familiales, professionnelles et une blessure sérieuse devient un handicap à la continuité de nos occupations. J’ai également pris conscience qu’un arrêt prolongé peut avoir des conséquences financières et un stress qui peut être contrecarré si je me procure l’équipement adéquat.
Gilet de protection TEKVEST:
Ma réflexion m’a amené à une constatation: ma santé n’a pas de prix et il n’était pas question de lésiner sur la qualité. Mes recherches ont culminé vers un fabricant qui est le chef de file dans le domaine. TEKRIDER fabrique des gilets de protection selon les hauts standards depuis 1996 et c’est un argument de taille pour me convaincre de me prémunir d’un équipement de leur conception. Ils conçoivent de nombreux types de gilets, certains avec beaucoup plus de protections, mais je voulais une immunité pouvant me permettre une défense corporelle de base avec la liberté de bouger mes bras aisément.
Modèle FREESTYLE de TEKVEST:
J’ai opté pour le modèle conçu particulièrement pour les randonneurs, le FREESTYLE. J’étais très impatient de vérifier ses bienfaits et, dès que ma santé fut rétablie lors de la saison suivante, j’ai été en mesure de mettre à l’épreuve ce nouvel équipement de sécurité. Ma première constatation fut sa légèreté: son poids est à peine au-dessus de 2 livres. Par conséquent, elle n’accentuera pas le facteur fatigue par un surpoids. La fermeture éclair à l’avant et ses attaches rapides de type velcro facilitent également son ajout comparativement à d’autres modèles devant être glissés au-dessus de la tête. Jusqu’ici, tout allait à merveille et je n’étais pas déçu de mon choix.
La seconde constatation fut la liberté de mouvement qu’il m’est habitué d’effectuer lorsque je pilote ma motoneige. À vrai dire, j’oublie presque sa présence par moment. Il n’encombre aucune manœuvre et c’est un critère qui m’effrayait dès le départ. J’ai seulement l’air d’être un peu plus costaud sans pour autant ressembler à Robocop. Sincèrement, mon gilet FREESTYLE se moule littéralement à mon corps et je me sens nu maintenant sans lui.
Lors des journées froides hivernales, la présence de ce gilet remplace la sous-couche qu’il m’est habitué de porter pour me garder bien au chaud, n’ayant pas la réputation d’être frileux. Il me procure cependant une respirabilité, mais également une protection contre le froid à longueur de journée.
J’ai finalement remarqué un point qui surpasse tous ceux nommés précédemment. Ce gilet m’a redonné la confiance que j’avais perdue lors de mon accident. Il me donne également l’assurance que je vais pouvoir pratiquer l’activité motoneigiste pendant encore de nombreuses années. Pour mes proches, ce gilet de protection de TEKVEST procure la garantie que je serai de retour de chacune de mes randonnées sain et sauf. Il n’est pas nécessaire d’être un casse-cou ou un cascadeur pour se permettre ce type de bouclier. Il ne suffit que d’être conscient des dangers potentiels qui nous guettent à chaque tournant.
Avec mon expérience, je suis de plus en plus sensibilisé aux risques inhérents de la pratique des sports motorisés. Pour rester en santé longtemps pour les gens que j’aime, il n’y a pas de compromis et mon gilet de protection fait maintenant partie intégrante de mon équipement de motoneigiste de base. Une saison écourtée est une saison de perdue et cette aventure de l’hiver 2018 m’a au moins fait prendre conscience que ma sécurité passe par un équipement adéquat.
Pour plus de détails sur les gilets de protection TEKVEST, consultez le www.tekrider.ca